Dans cette section, vous trouverez de plus amples informations sur les types de projets éligibles à cet appel d'offres. Veuillez lire attentivement les détails et les conseils de candidature pour vous assurer que votre organisation est éligible avant de soumettre une candidature.
Tous les projets TerraFund for AFR100 doivent répondre aux attentes suivantes :
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Le projet est situé dans l'un des trois paysages suivants : La grande vallée du Rift au Kenya ; le bassin du lac Kivu et de la rivière Rusizi au Burundi, en République démocratique du Congo et au Rwanda ; et la ceinture de cacao du Ghana. Veuillez consulter cet article pour en savoir plus sur les paysages éligibles.
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Le projet doit être un effort de restauration mené au niveau local qui vise à restaurer les terres d'une manière qui profite aux communautés locales et aux écosystèmes.
Foire aux questions sur l'éligibilité des projets :
Les espèces indigènes sont fortement encouragées. Les projets de plantation d'arbres non indigènes sont éligibles mais seront évalués au cas par cas. Les projets de plantation d'espèces invasives ne seront pas pris en considération. Dans de nombreux paysages, la plantation de certains arbres non indigènes peut améliorer les moyens de subsistance et la durabilité des communautés agricoles grâce à des pratiques telles que la culture d'espèces non indigènes dans des systèmes mixtes d'agroforesterie et de sylvopâturage. Les arbres fruitiers et fourragers, dont beaucoup ne sont pas originaires des paysages africains, apportent de réels avantages aux communautés locales sans nuire au climat ou à la biodiversité. Dans les cas où des espèces non indigènes sont proposées, l'étendue de leur utilisation, les avantages en termes de moyens de subsistance et la relation du projet avec le paysage dans son ensemble seront soigneusement examinés.
Les plantations de bois qui mettent l'accent sur les avantages sociaux et environnementaux seront prises en considération. Les considérations paysagères plus larges qui entourent la plantation proposée seront également prises en compte. Par exemple, les plantations productives qui utilisent des espèces indigènes ou un mélange sain d'espèces indigènes et non indigènes ou qui engagent et responsabilisent efficacement les petits exploitants dans la chaîne de valeur seront prises en considération. Un autre exemple pourrait être l'ajout de plantations d'espèces indigènes mixtes à une zone tampon autour d'une réserve forestière indigène afin de fournir des moyens de subsistance aux communautés environnantes, renforçant ainsi les résultats de la restauration et de la conservation dans le paysage local.
Le projet doit débuter au cours de l'année civile 2023. La période de mise en œuvre du projet est flexible, mais les projets doivent s'étendre sur un maximum de deux années de plantation et nécessiter un suivi pendant cinq années supplémentaires après la plantation du dernier arbre, soit un total de sept ans. Les projets doivent collaborer avec le WRI pour la surveillance par satellite de la zone du projet et du paysage environnant pendant ces 5 années.
Oui, chaque organisation peut soumettre jusqu'à trois manifestations d'intérêt. Chaque candidature doit être soumise séparément sur TerraMatch et doit être suffisamment différente en termes de portée, d'échelle ou de localisation. L'équipe d'évaluation peut faire passer une ou plusieurs manifestations d'intérêt à la phase de candidature complète.
Oui, nous encourageons vivement les organisations à but non lucratif et à but lucratif à soumettre des projets qui incluent des partenaires gouvernementaux. Bien que le financement doive être versé directement à une organisation enregistrée de manière indépendante, les partenaires gouvernementaux peuvent être inclus dans un consortium de projet. TerraFund for AFR100 Landscapes fait appel aux agences gouvernementales de chaque paysage pour s'assurer que les projets financés s'alignent sur les plans locaux et nationaux de développement économique et de gestion de l'environnement.
Oui, nous encourageons plusieurs organisations à soumettre une demande ensemble dans le cadre d'un consortium. Une lettre de partenariat signée doit être jointe à la demande en tant que "lettre de recommandation". L'organisation chef de file doit soumettre la demande au nom du groupe. C'est elle qui recevra les fonds et sera responsable de la présentation des rapports. Par exemple, une organisation plus établie peut s'associer à une organisation de jeunes récemment créée, une pépinière à but lucratif en pleine expansion peut présenter une demande avec une coopérative à but non lucratif, ou une association forestière communautaire légalement enregistrée peut présenter une demande avec le soutien d'une agence gouvernementale.
La restauration menée localement implique les habitants de la région en tant que parties prenantes dans le processus, de la conception à la prise de décision et à la mise en œuvre. Le personnel local fait partie de la direction de l'organisation. Un projet ou une entreprise de restauration sera mieux noté si le modèle garantit que les petits exploitants peuvent participer à la chaîne de valeur, qu'ils emploient des personnes localement et qu'ils peuvent montrer des avantages concrets pour les communautés locales.
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